1. |
Blue
03:08
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-- Paroles --
Je ne t’ai jamais vu aussi maigre
Mais pourtant tu me dis que tu manges
Je ne t’ai jamais vu aussi anxieux
Mais pourtant elle te remplit le cœur
Je ne t’ai jamais vu aussi perdu
Mais pourtant tu y arrives
Je ne te reconnais plus
Tu tombes et retombes chaque fois qu’elle repart
Tu tombes et succombes chaque fois qu’elle revient
J’ai beau te dire
Tu brilles fort
Et incarnes le feu pour plusieurs
Tu pleures
J’ai beau te dire que tes malheurs
Ne deviendront que quelques heures
Tu pleures
tu l’aimes alors s’il te plait
Arrête de t’imaginer
que tu ne pourras t’y plaire
J’ai beau te dire tu brilles fort
Et incarnes le feu pour plusieurs
Tu pleures
J’ai beau te dire que tes malheurs
Ne deviendront que quelques heures
Tu pleures
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2. |
Chaos
02:58
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-- Paroles --
Et si j’avais besoin de tomber
Pour revenir, pour revenir
Traverserais-je les tourments qu’il faut
Ou fouterais-je le chaos
Pour chanter
Pour chanter
Et quand la terre changera de ciel encore
Cette nuit
Faudra-t-il vraiment que je le fasse aussi
Car à la différence d’elle
Moi je ne reviens jamais
À ce que j’étais avant
À ce que j’étais hier
Moi quand je pars
Je ne retiens rien
Je ne retiens rien
Je ne retiens rien
Et si j’avais besoin de rester
Pour ressentir
Pour le saisir
Ce qu’il est bon d’être rien et tout en même temps
De fixer le beau et l’évident
Et quand la terre changera de ciel encore
Cette nuit
Faudra-t-il vraiment que je le fasse aussi
Car à la différence d’elle
Moi je ne reviens jamais
À ce que j’étais avant
À ce que j’étais hier
Moi quand je pars
Je ne retiens rien
Je ne retiens rien
Je ne retiens rien
Car à la différence d’elle
Moi je ne reviens jamais
À ce que j’étais avant
À ce que j’étais hier
Moi quand je pars
Je ne retiens rien
Je ne retiens rien
Je ne retiens rien
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3. |
Forçons les tiges
03:24
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-- Paroles --
Il serait temps qu’on soit beau
Qu’on se rêve mieux
Mais nos étés ne sont pas terminés
Que déjà il fait noir plus tôt
On pense à nous et non aux guerres
C’est loin, c’est flou
Et plus souvent
Qu’autrement
Ça ne fait rien du tout
Ça ne nous fait rien du tout
Forçons les tiges à pousser
Forçons les rires
Jugeons les tirs et crions au loup
Forçons les tiges à pousser
Forçons les rires
Jugeons les tirs et crions au loup
Personne ne voit
Mais tout le monde prend
Tout en cliché et bien souvent
S’il importait
S’ils disaient vrai
Il n’y aurait rien évidemment
Je rêve du jour où je dirai
Je ne vaux rien, pas plus que vous
Mais pour l’instant ici briller
Restera plus fort que tout
Forçons les tiges à pousser
Forçons les rires
Jugeons les tirs et crions au loup
Forçons les tiges à pousser
Forçons les rires
Jugeons les tirs et crions au loup
Forçons les tiges à pousser
Forçons les rires
Forçons les tiges à pousser
Forçons les rires
Forçons les tiges à pousser
Forçons les rires
Forçons les tiges à pousser
Forçons les rires
Forçons les tiges à pousser
Forçons les rires
Forçons les tiges à pousser
Forçons les rires
Forçons les tiges à pousser
Forçons les rires
Forçons les tiges à pousser
Forçons les rires
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4. |
La plage
03:08
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-- Paroles --
Ils me parlent d’argent
Je leur parle d’idées
Ils me reparlent d’argent
Alors je ne réponds plus
Ils me veulent en métier
Et moi à la plage
Car je me fous de brûler
Car je me fous de brûler
Les choses semblent vouloir tomber
Sonnant comme du métal
Ne me dites pas comment
Je pense pouvoir imaginer
Ils me parlent d’une maison
Alors que je n’ai plus de toit
Ils me parlent d’une façon
Que je ne saisis pas
Ils me parlent d’un plafond
Peint couleur de soie
Ils me veulent en métier
Et moi à la plage
Ils me veulent en métier
Et moi à la plage
Les choses semblent vouloir tomber
Sonnant comme du métal
Ne me dites pas comment
Je pense pouvoir imaginer
Les choses semblent vouloir tomber
Sonnant comme du métal
Ne me dites pas comment
Je pense pouvoir imaginer
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5. |
Du même sang
03:02
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-- Paroles --
Ton visage me ressemble
Ton cœur
Du même sang
Mais si loin pourtant
Nous sommes des îles
Où les ponts disparaissent
Où l’instant veut se remplir
Mais les temps changent
Car dans l’amour inconditionnel
Qu’on prend pour acquis
Il ne demeura
Que de l’amour
Mais plus rien d’autre
Mais plus rien d’autre
Tes excès de colère
Me font peur et prier pour une première fois
Je prie pour ton fils Notre mère
Et notre père
Qui dois-je te rappeler
Ne sont pas aux cieux
Ni même proche des dieux
Qui, dois-je te rappeler
Ne sont pas aux cieux
Ni même proche des dieux
Car dans l’amour inconditionnel
Que tu prends pour acquis
Il ne demeura
Que de l’amour
Mais plus rien d’autre
Mais plus rien d’autre
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6. |
Sinon
01:49
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-- Paroles --
L’amour c’est bien
Mais quand c’est loin
De mon cou
Car sinon
Je n’arrête pas de frissonner
Et de crier ton nom partout
Mon ex m’haït et mes amants
Se sont enfuis de mon lit
Pour un amour qui s’en fout
Pour un amour qui avale tout
L’amour c’est bien
Mais quand c’est loin
De mes reins
Car sinon
Je n’arrête pas de chanter
Des chansons qui parlent de nous
L’amour c’est bien
Mais quand c’est loin
De mes reins, de mes reins
L’amour c’est bien
Mais quand c’est loin
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7. |
Loin
02:56
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-- Paroles --
On ne m’appelle plus mais je m’en fous
Je suis la paix ici et maintenant
Ça brasse un peu moins mais je m’en fous
Je sens que bientôt nous abdiquerons
De ne pas avoir leurs yeux
De ne pas avoir leurs yeux
Prêtez-moi les vôtres
Que je ressente
La beauté loin de mon corps
La beauté loin de mon corps
La beauté loin de mon corps
La beauté loin de mon corps
Et si nous revenions
Ici et maintenant
Pour vaincre ces démons
Que je ressens
De ne pas avoir vos yeux
Et la beauté loin de mon corps
De ne pas avoir vos yeux
Et la beauté loin de mon corps
La beauté loin de mon corps
La beauté loin de mon corps
La beauté loin de mon corps
La beauté loin de mon corps
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8. |
Comme si
04:04
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-- Paroles --
Je saigne des talons
Comme dans certaines chansons
Et je pleure
Comme dans toutes les autres
On ne choisit pas nos peurs
Sinon nous ne pleurerions jamais
On ne choisit pas nos peurs
Comme si
Je ne pouvais croire
Qu’un miroir
Pour naître, naître
Aux yeux de la mère
Aux yeux de la mère
Pour naître, naître
Aux yeux de la mère
J’ai mes doutes sur le plafond
Alors, je me couche et fais attention
Oui, je me tourne
Pour mieux m’endormir
Et j’oublie mon nom
Et j’oublie mon nom
Comme si
Je ne pouvais croire
Qu’un miroir
Pour naître, naître
Aux yeux de la mère
Aux yeux de la mère
Pour naître, naître
Aux yeux de la mère
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9. |
MS
03:55
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-- Paroles --
On m’a dit de regarder le ciel
Ce soir car la noirceur éclaira les
Étoiles
On m’a dit de regarder le ciel
Ce soir car la noirceur éclaira les
Étoiles
Mais j’apprends
Encore
Que la tristesse N’arrive jamais avant
Toi
On m’a dit de regarder le ciel
Ce soir car la noirceur
Éclaira les étoiles
Éclaira les étoiles
On m’a dit de regarder le ciel
Ce soir car la noirceur
Éclaira les étoiles
Mais j’apprends
Encore
Que la tristesse N’arrive jamais avant
Mais j’apprends
Encore
Que la tristesse N’arrive jamais avant
Toi
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